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Place à la recherche-création - Œuvre ouverte: la création littéraire à l’UdeM

Une soirée passionnante sous forme de table ronde pour découvrir la création littéraire sous toutes ses facettes

Le Laboratoire d'innovation, en partenariat avec les Grandes Retrouvailles de l'Université de Montréal, est heureux de vous convier à la table ronde Œuvre ouverte : la création littéraire à l’UdeM qui sera suivie d'un cocktail de réseautage.

> Quand? Vendredi 10 mai, de 18 h à 20 h 30
> Où? Campus MIL, pavillon A, salle A-3502.1 (3e étage), 1375, avenue Thérèse-Lavoie-Roux
> Prix: Événement gratuit, inscription obligatoire
> Public cible: Grand public

> Les inscriptions sont maintenant terminées


Déroulement de l’événement:

17 h 30 : Accueil des participantes et participants
18 h 00 : Mot de bienvenue et table ronde
19 h 45 : Cocktail de réseautage
20 h 30 : Fin de l’activité


Participantes à la table ronde:

Marie-Pascale Huglo
Marie-Pascale Huglo est professeure titulaire et directrice au Département des littératures de langue française de l'Université de Montréal. Ses recherches et ses publications portent sur le récit contemporain et l’écriture de création. Elle est l'auteure d'essais sur le genre de l'anecdote et sur les transformations du récit contemporain. Chez Leméac, elle a publié des romans (La Respiration du monde, 2010; La Fille d'Ulysse, 2015), un récit (Montréal-Mirabel. Lignes de séparation, 2017) et, plus récemment, un recueil de nouvelles (Des pierres dans les poches, 2023). Elle est titulaire d'un doctorat en littérature de l'Université de Montréal.

Catherine Mavrikakis
Catherine Mavrikakis est professeure titulaire au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal et auteure. Elle a publié de nombreux romans, dont La Ballade d’Ali BabaLes Derniers jours de Smokey NelsonLe Ciel de Bay CityOscar De Profundis et L’Annexe. Elle est l’autrice d’un oratorio, Omaha Beach, et d’un récit sur sa mère, L’Absente de tous bouquets. En avril 2024, elle fait paraître Sur les hauteurs du Mont Thoreau. Elle écrit aussi des essais, parmi lesquels Diamanda Galás. Guerrière et gorgone et L’Éternité en accéléré. Son œuvre, traduite en plusieurs langues, a été maintes fois récompensée, notamment par le Prix des collégiens, le Prix des libraires et le Grand Prix du livre de Montréal. Elle est titulaire d’un doctorat en littérature de l’Université de Montréal.

Claire Legendre
Claire Legendre est professeure titulaire au Département des littératures de langue française de l'Université de Montréal, où elle enseigne la création littéraire depuis 2011, et auteure. Originaire de Nice, elle a étudié à l’Université de Nice-Sophia Antipolis où elle a obtenu un doctorat en littérature comparée et études théâtrales en 2009.

Pensionnaire à la Villa Médicis à Rome en 2000, auteure de romans (Making-of, Viande, Matricule, La Méthode Stanislavski, L’Écorchée vive, Vérité et amour, Bermudes), de nouvelles (Le Crépuscule de Barbe-Bleue) et de pièces de théâtre, elle a également cosigné avec Jérôme Bonnetto un recueil de photolittérature (Photobiographies) et signé en 2015 un essai autobiographique sur la peur (Le Nénuphar et l'araignée). En 2018, elle a réalisé un long métrage documentaire, Bermudes (Nord), sur l'île d'Anticosti et sur la Côte-Nord du Saint-Laurent. En 2020, elle a dirigé le collectif Nullipares, réunissant les textes de dix auteures qui n'ont pas porté d'enfant et, en février 2024, paraissait son plus récent ouvrage Ce désir me point aux éditions Leméac.

Pascale Millot
Pascale Millot est doctorante en recherche-création au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal, sous la direction de Catherine Mavrikakis et Maïté Snauwaert, et professeure de littérature au Cégep Édouard-Montpetit. Elle a été journaliste culturelle et scientifique pendant 20 ans. Elle écrit des textes de création dont certains ont été publiés (Muse Medusa, Récits infectés, Liberté) ou performés devant public (Litt-moi, 2019). Elle a aussi codirigé le livre La Réinvention des corps: une incursion organique dans les domaines de la culture et de la médecine (PUL). Ses recherches portent sur le deuil, les éthiques du "care" et l’accompagnement de l’autre et par l’écriture dans l’œuvre littéraire. Son volet création consiste en une non-fiction sur sa mère, le cancer et Susan Sontag.

Boursière du CRSH et du FRQSC, récipiendaire de la bourse doctorale Jean-Monbourquette et J.A. de Sève, elle a été coordonnatrice scientifique de la Chaire McConnell-Université de Montréal en recherche-création sur les récits du don et de la vie en contexte de soins de 2021 à 2023 au sein de laquelle elle a donné de nombreux ateliers de création.

Camille Gascon-Detuncq
Camille Gascon-Detuncq est doctorante en recherche-création au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal sous la direction de Jean-Marc Larrue et Claire Legendre. Dans le cadre de sa thèse en recherche-création, elle s'intéresse à la "scène de l'aveu" dans les théâtres documentaires contemporains.

Thara Charland
Thara Charland est diplômée en recherche-création du Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal où elle enseigne comme chargée de cours. Elle est aussi auteure et chercheuse postdoctorale à l’Université McGill. Intitulé Montréal imaginaire: Ville et bande dessinée, son projet postdoctoral porte sur les multiples représentations de la métropole dans la bande dessinée contemporaine. Son premier roman, L’Été au Parc Belmont, est paru en 2022 aux éditions La Mèche.

Karianne Trudeau-Beaunoyer
Karianne Trudeau-Beaunoyer est titulaire d'un doctorat en recherche-création du Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal. Auteure et enseignante, elle a publié Je suis l’ennemie (Le Quartanier, 2020; prix Émile-Nelligan 2020 et finaliste au prix Alain-Grandbois 2021). Elle a également fait paraître des textes courts en revue (Estuaire, Mœbius) et dans des collectifs (Se faire éclaté·e au Groupe Nota bene en 2020, Mortel·les aux éditions Triptyque et Selfies au Cheval d’août en 2023).

Sa thèse, intitulée La Lumière produit du noir, s’est penchée sur la pratique littéraire de l’autoportrait. Plutôt que d’être tiraillée entre la recherche et la création, elle a mené les deux dans un même mouvement, un même geste de lecture-écriture. Elle a été membre du comité de rédaction de la revue Mœbius de 2017 à 2019.